Vu sur le blog de Suzette Sandoz. A part le système cantonnal, c’est la même chose que chez nous…
Est-il normal qu’un pharmacien informe le pharmacien cantonal qu’un médecin pratiquant a prescrit à un de ses patients un certain médicament en rapport avec la covid-19, que le pharmacien cantonal informe de cela le médecin cantonal et que ce dernier téléphone au médecin en cause en lui interdisant de prescrire ledit médicament dont beaucoup de médecins pratiquants affirment qu’il a fait ses preuves ?
Il est vraiment temps que l’on essaie de comprendre pourquoi tout effort médical de soigner un malade covid au tout début de la maladie par des moyens médicalement connus est interdit, pourquoi une personne mise en quarantaine par téléphone ou SMS, ou pire, en isolement, n’est pas informée de ce qu’elle pourrait faire de valable dès les premiers symptômes covid, afin d’éviter une aggravation.
Pourquoi est-ce que tout médecin en exercice qui, en cas de covid d’un de ses patients, essaie d’indiquer des solutions existantes est traité d’âne bâté, de farfelu ou interdit de prescription, voire de publication, bientôt peut-être de pratique ?
Je ne suis ni complotiste, ni membre d’une secte, mais j’aimerais savoir pourquoi, en relation avec cette pandémie, on vit une telle rage et un tel mépris envers toute personne du corps médical ou pharmaceutique qui propose des soins et des remèdes autres que le vaccin ? On vaccine à tours de bras, la plupart du temps sans précaution préalable et sans assumer la moindre responsabilité personnelle, mais on interdit à un médecin qui connaît son patient de lui prescrire un remède en assumant tout normalement sa responsabilité personnelle et professionnelle. Il y a, ma foi, quelque chose qui cloche !
Son blog est ici.