Article actualisé ….Il y a peu, ceux qui rejoignaient E. Zemmour étaient affublés de toutes sortes de qualificatifs par les bienpensants et les « forces du bien ». Ceux qui rallient Zemmour sont des faschistes, racistes, traîtes…
E. Zemmour appelait V. Pécresse Mme 20h02 faisant allusion à son ralliement à E. Macron à 20h02 après le premier tour.
Martine Vassal (LR) fait mieux, elle annonce déjà en plein conseil municipal de Marseille qu’elle se rallie à E. Macron au nom de l’unité national. On n’est pas très loin du fameux « front républicain » (une des plus belles arnaques électorales).
« J’ai décidé de soutenir Emmanuel Macron »
Ceux qui rallient Macron « sauvent la France » ?! De la dilution dans l’UE ? de la guerre en jetant de l’huile sur le feu ? de la catastrophe économique ? (Nouveaux impôts sur le patrimoine pour ceux qui ne font pas appel à des cabinets spécialisés : c’est-à-dire le patrimoine des « laborieux » et de la classe moyenne supérieure).
Je crois profondément que l’unité nationale est désormais notre seul chemin.
J’ai donc décidé de soutenir @EmmanuelMacron à la présidence de la République française.
Au cœur d’une tempête sans précédent depuis 1945, il est le seul à pouvoir donner un espoir aux français. pic.twitter.com/UT1tYckQRy— Martine VASSAL (@MartineVassal) March 4, 2022
Le front républicain d’après Wikipédia…
Sous la Cinquième République française, le terme de « front républicain » désigne le rassemblement, lors d’une élection, de partis politiques de droite et de gauche contre le Front national, devenu Rassemblement national, considéré par ceux-ci comme un parti d’opposition au régime républicain.
5 mars, il n’a pas fallu attendre longtemps, Valérie plutôt que de se battre sur le terrain des idées, annonce le programme classique de ceux qui n’en n’ont pas… « lutter contre l’extrême droite ».
Dans son propre camp on s’inquiète.
L’inquiétude grandit de jour en jour à droite. «Nous sommes en train de perdre la bataille de la communication», déplore ce cadre de la campagne de Valérie Pécresse, dépité. Depuis maintenant quelques semaines, il voit défiler dans les médias et sur les réseaux sociaux des vidéos dans lesquelles sa candidate est «moquée, matin, midi et soir». «C’est désastreux. Quand j’allume ma télé ou quand j’ouvre Twitter, je ne vois que ça», s’émeut-il. Il y a d’abord eu les images – abondamment partagées et détournées – de son meeting laborieux au Zénith de Paris. Puis, plus récemment, celles publiées sur le compte Twitter de Ouest France, où en pleine discussion avec un agriculteur, la présidente de la région Île-de-France tourne soudainement la tête et se met à marcher, donnant le sentiment qu’elle se désintéresse des problèmes que celui-ci lui expose. Mais aussi cette scène, à la fin de sa visite au Salon de l’agriculture, où l’on aperçoit Valérie Pécresse s’en aller en lâchant: «Je file m’occuper…