Le GIEC et l’éco-anxiété

Selon wikipédia le GIEC…

En 2021, le GIEC compte 195 membres, pays qui se réunissent généralement une fois par an. Des centaines de fonctionnaires et d’experts de différents ministères et d’instituts de recherche compétents des pays membres ainsi que des organisations observatrices assistent à ces sessions.
Les chercheurs sont compétents car…  le GIEC est financé par les 195 Etats membres de l’ONU ! (5 à 8 millions d’€).
Pour le GIEC, l’origine anthropique (l’homme) ne fait aucun doute et après le fiasco du trou dans la couche d’ozone il dispense sa théorie du CO2 comme étant à l’origine du changement climatique.
Le GIEC n’est pas l’ensemble de la communauté scientifique. C’est ceux qui font le plus de bruit.
Extrait de l’excellent travail de Elpis…
Toute personne ayant une certaine formation scientifique et prenant la peine d’étudier les sujets abordés est rapidement amenée à conclure que les arguments du GIEC sont inexacts, pour de nombreuses raisons dont voici une liste non exhaustive.
1 – La quantité de CO2 de l’air provenant des émissions anthropiques ne représente aujourd’hui pas plus de 5% du CO2 total de l’air au lieu des 25 à 30% annoncés par le GIEC.
Une idée fausse, courante chez les non-experts, est que le CO2 atmosphérique est le produit des émissions humaines, alors qu’en fait ces dernières ne contribuent que pour 3,8% au cycle global du carbone.” “La direction dominante de la causalité est T➝CO2 plutôt que l’inverse.
2 – La durée de vie des molécules de CO2 dans l’atmosphère est d’environ 5 ans au lieu des 100 ans annoncés par le GIEC. Le carbone fossile se repartie le carbone naturel à : 2% dans l’air, 7% dans la végétation, 91% dans les océans.
3 – Au cours de certaines périodes géologiques, la teneur en CO2 a été jusqu’à 20 fois supérieure à celle d’aujourd’hui, et il n’y a pas eu d’augmentation brutale de la température ! Pourquoi nos émissions de CO2 auraient-elles un impact cataclysmique ?
Les affirmations délibérément alarmistes du type “La dernière fois que le CO2 a été aussi élevé” sont fondées sur des conjectures pas sur la science. Des reconstitutions récentes indiquent que le CO2 a oscillé entre 200 et 750 ppm au cours des 4 derniers millions d’années.
4 – Le point chaud dans la haute troposphère intertropicale est, selon tous les modèles et les rapports du GIEC, la preuve indubitable de l’amplification du réchauffement par rétroaction de la vapeur d’eau : il n’a pas été observé et n’existe pas.
5 – Selon les modèles du GIEC l’augmentation des GES est censée AUGMENTER la couverture nuageuse et provoquer un rétroaction positive. Mais, plus de nuages est une rétroaction négative. La couverture nuageuse est modulé par l’activité magnétique solaire.
6 – Les températures ont toujours entraîné la teneur en CO2 de l’air, jamais l’inverse. Un effet ne peut précéder une cause. De nos jours, l’augmentation nette de la teneur en CO2 de l’air suit de très près l’anomalie de température intertropicale.
La suite ICI.
L’éco-anxiété, le mal qui ronge les jeunes, les vieux et qui fait des dégâts ICI.
Comment savoir si on est atteint ? Tu cites le GIEC plusieurs fois par semaine, tu crois que tu vas sauver la planète en allant travailler à vélo, tu utilises du shampoing à sec et tu ne prends pas plus d’une douche par semaine pour économiser l’eau, tu vis dans la pénombre, tu milites et tu dors mal…Il y a un risque.
Au final, pour le fils d’un ami, cela s’est terminé par un suicide et nous avons même eu droit à un discours militant le jour de ses obsèques devant les yeux ébahis des nombreuses personnes présentes.
A suivre…ici-même