Fan de Bernard Werber depuis « Les Fourmis » j’ai lu récemment « Le miroir de Cassandre, livre sorti en 2009. Quand je dis lu, c’est plutôt entendu car j’ai emprunté à la médiathèque la version audiobook pour paresseux. Les thèmes du roman sont la prévision de l’avenir, la liberté et son usage, l’exclusion, l’avenir de l’humanité (Wikipédia).
Je démarre l’histoire de Cassandre Katzenberg avec un apriori positif pensant découvrir un roman dans la même veine que ceux que j’ai apprécié.
Pas la peine de vous faire lambiner … Je n’y ai pas du tout trouvé l’ombre d’un intérêt. Ca sonne le creux du début jusqu’à la fin. On n’en fini pas de découvrir les anecdotes maigrichonnes de l’héroïne qui évolue au beau milieu d’une décharge avec un groupe de clochards, les rédemptionnais.
Chapitre 20, je me dis que ça va démarrer… 40 pareil…60, 80 et là plus d’espoir (il y a 112 chapitres) ça tournicote, ça se traîne. Et rien !
Je crois que si j’avais du avoir la version papier je n’aurais pas pu aller au bout. B Werber l’a vraiment écrit ? a manqué à ce point de talent ?
Epilogue : en approchant du dernier chapitre, résigné, je me dis, tiens je vais me remettre en regardant un chef-d’oeuvre mondial du cinéma « 50 nuances de Grey » avec vidéo projecteur et grand son…
(voir article suivant).