MOLNUPIRAVIR

Déjà poser l’évidence. Le Molnopiravir, le mutagène miracle ne fonctionne pas.

Ce qui suis n’engage que moi, je ne suis pas scientifique de haut-vol (comme Patrick Cohen, Bruce Toussaint, Laurent Joffrin…).

Essai pour comprendre pourquoi les variants de la covid viennent de certains pays ou régions du monde et pas d’autres… Maghreb, Amérique du Sud, Inde, Afrique du Sud…
Pour certains, c’est simple. Ceux qui n’ont pas le « vaccin », sont  malades, contagieux et tombent comme des mouches !

Je vois ça différemment. Les variants proviennent de pays pauvres. Ils ne souffrent pas de filariose (et paludisme) et qui n’ont pas choisi les traitements précoces (Ivermectine, azithromycine, artimesinine, zinc…), et surtout ils ont été et sont un vivier de cobayes volontaires pour tester les « nouveaux produits des grands laboratoires.

Rappel : de nombreux pays n’ont pas les moyens d’assurer un fond d’indemnisation en cas de recours de leur population contre le « vaccin » et s’en sortent mieux que nous car les labos dans ce cas refusent la vente de ces produits si fiables… ! Hasard ?

Cessons de donner des leçons à l’Afrique

En Afrique du Sud, origine du dernier variant OMICRON, Pfizer a recruté 4000 cobayes pour tester le molnupiravir.

Les prochains variants émergeront du Mexique, des Philippines ?

Et si le molnupiravir était le papa de OMICRON

L’Afrique du Sud demande à J§J et Pfizer de stopper la livraison de « vaccins ». Etonnant, non ? Les stocks sont suffisants 🙂

L’article chez Bloomberg est ICI.

Le communiqué du Botswana indique clairement que le nouveau variant sud africain B11529 a été détecté chez des personnes toutes vaccinées.

Toutes les recherche en cours sur la planète (covid, HIV, tuberculose…) ou envie de faire avancer la science (être cobaye)… C’est ICI.

Bonus : le monupiravir avant et après… (merci à Patrice Gibertie).

Le molnupiravir, aussi appelé MK-4482… est un antiviral expérimental à large spectre…il a été abandonné suite à de sérieux risques mutagènes.

Transformation magique !

Le molnupiravir, aussi appelé MK-4482… est un antiviral expérimental à large spectre… Il a montré in vitro et chez l’animal une certaine efficacité contre certains coronavirus dont le virus SAR-CoV-2 responsable de la pandémie de COVID-19.